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UGC Illimité 7
Dernier UGC Illimité de l’année, ni masque ni plume mais simplement d’horribles et cruelles notes, car le commentaire culturel a assez duré.
10/10 – ’71, Yann Demange.
9/10 – Interstellar, Christopher Nolan.
8/10 – It Follows, David Robert Mitchell.
7/10 – Enemy, Denis Villeneuve.
7/10 – Night Call, Dan Gilroy.
6/10 – Mange Tes Morts, Jean-Charles Hue.
5/10 – Under The Skin, Jonathan Glazer.
5/10 – Near Death Experience, Gustave Kervern et Benoît Delépine.
4/10 – Le Labyrinthe, Wes Ball.
3/10 – Fils De, HPG.
2/10 – White God, Kornel Mundruczó.
1/10 – American Nightmare 2 : Anarchy, James DeMonaco.
0/10 – Annabelle, John R. Leonetti.
-1/10 – Eden, Mia Hansen-Løve.
Les précédents UGC Illimité :
UGC Illimité 1 (Hiver 2012)
UGC Illimité 2 (Hiver 2013)
UGC Illimité 3 (Printemps 2013)
UGC Illimité 4 (Été 1973)
UGC Illimité 5 (Automne 2013)
UGC Illimité 5 (Printemps 2014)
Down With Da Crew !
Entre 1994 et 2001, Rennes a été la capitale hardcore de la France. Vous en doutiez ? Allez voir ces photos et lisez l’interview de David Mancilla ici. On y parle de Stormcore, du Superbowl of Hardcore, du KDS crew, de la Hardside Connection et d’Overcome Records, entre autres !
Les rejetés du festin
« Contester l’état des choses et le mode de vie responsable de leur perpétuation n’est plus perçu comme une défense justifiée du respect des droits humains perdus/volés (et pourtant inaliénables), dont les principes devraient être reconnus et recevoir un traitement égal. Cette contestation est même considérée de la manière dont Nietzsche regardait la « compassion active pour tous les ratés et les faibles » : un sentiment « plus nuisible qu’aucun vice », car « ménager, compatir, là fut toujours le plus grand de mes périls ». LIRE LA SUITE
POUSSIÈRE D’ANGE (1987)
Après l’époque ‘flics de choc’, on entre dans l’ère Tranxène. Les flics sont toujours aussi solitaires mais tristes, sales et alcooliques. Bernard Giraudeau « le baroudeur romantique » campe l’inspecteur Blount, largué par sa meuf (Fanny Cottençon, qu’il savate en plein milieu d’un restaurant d’entrée de jeu) et qui, lassé de la chercher, se laisse entraîné au fond par une petite souillon orpheline jouée par Fanny Bastien, le petit fantôme du cinéma français 80. Série Noire. LIRE LA SUITE