TOUS LES ARTICLES AVEC Polar80

Bébel & les punks

BACRI80

BACRI TOP 10
Jacky Azoulay dans Le Grand Pardon (1982)
Insp. Esperanza dans La 7ème Cible (1984)
Inspecteur Batman dans Subway (1985)
Bruno dans Escalier C (1985)
Barman dans On ne meurt que 2 fois (1985)
Briand dans Mort un dimanche de pluie (86)
L’homme à la BMW dans Rue du départ (86)
Fane dans L’Été en pente douce (1987)
Guido dans Mes meilleurs copains (1989)
Georges dans Cuisine et dépendances (1993)

CLUB80

Amateurs de bars de nuit, discothèques, boîtes, clubs réels ou fictifs, et autres points de chute du monde interlope dans les films français des années 80 ? Envie de revoir Daniel Auteuil en mode Cruising, Bernard Giraudeau se battre à l’Usine, Alain Delon tuer un DJ ou encore Thierry Lhermitte en patron du Sodom’s ? Y’a pas de lézard, cette chaîne Vimeo est faite pour vous ! >>> CLUB80

French Hustler

Déprime-sur-Seine

Béton Armé

Lanvin By Night

1200 battements par minute

Smaïn contre le Funk


Smaïn, Pascal Légitimus, Harlem Désir, Martin Lamotte et Dominique Lavanant sont sur un bateau. Il coule.

Baston à Stalingrad

Alors là, au-dessus c’est le… Le plan ? Un gag, une course, un monologue. Multiplié par 15. Dans le rôle du mec chiant qui devient cool, Richard Anconina aka Moïse, juif ultra orthodoxe en provenance d’Anvers, la Jérusalem du Nord, « comme on l’appelle ». Dans le rôle du mec cool qui va devenir chiant, Michel Boujenah aka Albert, cafetier et ceinture noire de karaté. Moïse qui transporte de la poudre de diamant va se retrouver mêlé à un trafic de cocaïne au fil de quiproquos dont seul Gérard Oury a le secret. Il cherche alors de l’aide auprès de son frère à qui il avait tourné le dos. Ce qui implique d’innombrables scènes de morale à deux balles. Les voyous sont des parodies du gang de RUE BARBARE, chaînes, cuirs, rouflaquettes, costume blanc, catogan, Maxime Leroux super-trop-puissant. Le jeu d’Anconina lui, est toujours aussi faible (Pialat le lui avait d’ailleurs dit sur le tournage de POLICE et il était rentré chialer chez lui). La musique de Vladimir Cosma est toujours pertinente, Brialy en travelo malheureusement aussi… Et puis il y a une liste assez folle de cameos (Tiki Holgado, Michel Muller, Robert Hossein, Isabelle Mergault à poil), des sangliers en laisse, une usine Renault sous acides, une remise en question de plusieurs versets de la Torah, des effets spéciaux précurseurs des ANGES GARDIENS, la poitrine de Souad Amidou mais aussi et SURTOUT : une baston de skins surréaliste à Stalingrad. POLAR80 plus fort que jamais.