TOUS LES ARTICLES AVEC Rue

THE CHILDREN OF TIMES SQUARE (1986)

Grand con

« Je m’attendais depuis quelque temps à recevoir une de ces lettres d’insultes dans lesquelles tu excelles et qui te permettent pour un instant de t’imaginer écrivain. J’y réponds avec retard, triste bureaucrate malheureux, mon boulot ne pouvant pas attendre, ta connerie si. LIRE LA SUITE

La ville sans attaches

« D’après l’analyse de Henning Bech, la sensation grisante d’occasion et de liberté associée à la vie urbaine ne provient pas seulement de l’abondance des impressions disponibles, mais aussi – et peut-être principalement – de la « libération de soi-même » […] – les relations urbaines sont anonymes et n’engagent à rien. Elles sont également saturées d’esprit consumériste : on ne s’y engage que pour les dissoudre à nouveau, elles durent autant que le plaisir qu’elles procurent, et s’effondrent dès qu’un plaisir plus grand, provenant d’une source différente, commence à pointer le bout de son nez : on contracte les rencontres fortuites humaines aussi facilement qu’on s’en débarrasse, comme pour l’appropriation des articles de supermarché, puisqu’elles ne sont motivés et soutenus que par des attentions et désirs instables. LIRE LA SUITE

Rage Silencieuse

IRV OZ ne s’embarrasse pas de superflu. Pour produire une musique vivante qui doit tout à la Mort, il s’influence directement des géants de la musicalité. Un condensé d’ambiances à mi-chemin entre les compositeurs de B.O. italiens: Ennio Morricone, Goblin, Riz Ortolani et les jazzmen libres américains: Miles Davis, John Coltrane. Vrai, le sacré n’est pas une mode. LIRE LA SUITE