TOUS LES ARTICLES AVEC Dépression

Serial Killers du Metalcore

Starkweather, Crossbearer, la chronique ici.

La phase dépressive de la culture

« Un tel mécanisme de légitimation culturelle, répété jusqu’à la parodie depuis années 1950, ne rend désormais plus problématique la question de la nature « artistique » du cinéma. Car il y a eu, dans la société, d’irrésistibles mouvements de fond qui ont radicalement transformé le statut de la culture et déplacé, déterritorialisé, cette idée d’une valorisation artistique du cinéma. Depuis près de 40 ans, ce que l’on désigne comme la « grande culture » ou culture classique est entrée dans une phase dépressive. La montée hégémonique (au sens gramscien) d’une génération et d’une classe sociale particulière (la petite bourgeoisie) a créé les conditions idéologiques d’une critique du savoir qui a eu comme conséquence une désacralisation de la culture noble, idéologie reprise depuis deux décennies, à leur compte, par les industries culturelles elles-mêmes, sans doute parce qu’elle est le plus efficace instrument de leur domination. LIRE LA SUITE

Who cares ?

Attendant désespérément la note de Pitchfork pour me faire un avis sur ce disque (trop underground), je suis obligé à mon désarroi de me rabattre sur la chronique virtuose de Modzik… Masturbation ? Oui merci. LIRE LA SUITE

Wasted Youth

WASTED YOUTH – Jealousy (Bridge House, 1980)


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LA BOUCHE DE JEAN-PIERRE (1997)

Qui donc se souvient du premier moyen-métrage de Lucile Hadzihalilovic sorti en 1997 ? Il n’aura pas eu la durée et la portée dont Carne a bénéficié (redécouvert en prequel de Seul Contre Tous), réalisé par son partenaire professionnel Gaspard Noé. Noé participe d’ailleurs aussi à La Bouche de Jean-Pierre et on peut donc dire que ces deux films courts, réalisés à 6 ans d’intervalle, proviennent du même esprit et du même objectif. From the mind of a terrorist !. LIRE LA SUITE

RADIO ON (1979)

Film gris, plus gris qu’un morceau de Visage, suivant la route d’un pauv’ type se rendant de Londres à Bristol pour en savoir plus sur la mort de son frère. Avant de rendre son âme, celui-ci lui a envoyé les trois premiers albums de Kraftwerk en K7 ce qui nous permet de passer des bons moments d’autobahn au doux son de la radioactivité, bande-son parfaite pour un road-movie. Périphérique en musique, le long du London Orbital si cher à Iain Sinclair. Pour le reste c’est bien trop poseur, et produit par Wim Wenders. LIRE LA SUITE

Douche Froide

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Un monde qui a dû éclater…

« A midi, tout est couvert, tout est effacé, il n’y a plus de monde, plus de bruits, plus rien. Des fumées lourdes coulent le long des toits, et emmantellent les maisons; l’ombre des fenêtres, le papillonnement de la neige qui tombe l’éclaircit et la rend d’un rose sang frais dans lequel on voit battre le métronome d’une main qui essuie le givre de la vitre, puis apparaît dans le carreau un visage émacié et cruel qui regarde. LIRE LA SUITE