TOUS LES ARTICLES AVEC Groove

Revolution Summer ’23

10 ans !

Playlist #50 : Salut les années 2010

LES 101 TITRES DE LA DÉCENNIE :

  1. Gatekeeper – Chains
  2. Jimmy Edgar – My Beats
  3. Class Actress – Careful What You Say
  4. Led Er Est – Port Isabel
  5. Martial Canterel – You Today
  6. Automelodi – Schéma corporel
  7. Dernière Volonté – Peut-être
  8. Blessure Grave – The Cycle
  9. Odd Future – Splatter
  10. Tense – Sin Realite
  11. Trust – F.T.F
  12. Wild Gemini – Golden Haze
  13. Cult Of Youth – The Dead Sea
  14. Kurt Vile – In My Time
  15. Spectrals – Get a Grip
  16. Turnstile – Death Grip
  17. Iceage – White Rune
  18. Die Selektion – Du Rennst
  19. John Maus – Cop Killer
  20. Wugazi – S.R.E.A.M.
  21. LIRE LA SUITE

French Hustler

Du funk américain à Stars 80 : les pérégrinations d’Alec Mansion

Difficile à avaler, mais le meilleur funkeur français des années 80 n’était ni Français, ni François, mais Belge. Avec deux impeccables albums sortis respectivement en 1982 et 1983, dont les mérites ont surtout été vantés par des hommes de radio et de studio, Marc Mansion de son vrai nom a toujours été un cas à part dans la variété francophone. D’abord passionné de pop anglaise comme tout type né à la fin des années 50, Alec entame un parcours musique classique avant de découvrir une autre musique, bien plus chaude et allumeuse, lors d’un voyage à Chicago. C’est décidé, dès son retour en Belgique il n’a qu’une idée en tête : faire du funk. Et c’est comme ça qu’avec l’aide des cerveaux du groupe Telex (les Kraftwerk belges), il va composer une pelletée de titres sans aucune fausse note, fruits d’une froide rencontre entre Prince et Chamfort. Ce n’est d’ailleurs pas une surprise si la chanson préférée d’Alec Mansion est « Bar américain » de Jay Alanski, tant leurs styles sont proches.

Évidemment, s’il obtiendra un succès d’estime dans son pays, la France restera imperméable à ses disques, assurant une transition difficile entre la folk à texte et le disco à sexe. Alec prendra sa revanche quelques années plus tard en fondant avec deux de ses cinq frères le groupe Leopold Nord & Vous, coupables du hit européen de l’année 1987, « C’est l’amour », dont il aimerait d’ailleurs fêter les 30 ans en sortant un album au Brésil, ne me demandez pas pourquoi, il est comme ça Alec. Entre ses bandes-son pour la saga Stars 80, ses tournées avec la troupe du même nom, un épisode de directeur musical de The Voice Belgique et même un opéra rock intitulé Hopes (en compagnie de son pote Julien Lepers) qu’il essaie en ce moment d’adapter en série télé, Alec Mansion a un agenda de nabab, mais il a quand même trouvé un moment pour lever le voile avec nous sur tous les mystères qui entourent sa carrière.

LIRE LA SUITE

Method of Groove (1990-1995)

Move it motherfuckers.

1990
BIOHAZARD – Wrong side of the tracks
1991
HATE FORCE – Step off
SUB ZERO – Waiting
THE ICEMEN – The harsh truth
LAMENT – Interreaction
LEEWAY – Who’s to blame
NOBODY’S PERFECT – Forceful tactics
1992
DMIZE – Soul search
ONLY LIVING WITNESS – Twitching tongues
WORLDS COLLIDE – Absolute
SICK OF IT ALL – The shield
1993
MERAUDER – Besiege the masses
25 TA LIFE – Separate ways
BULLDOZE – The truth
NEXT STEP UP – Heavy
LIFE OF AGONY – Method of groove
1994
MADBALL – Set it off
VISION OF DISORDER – D.T.O.
1995
ELEMENTS DEC – The game ain’t the same
CROWN OF THORNZ – Mental masquerade
KRUTCH – My way
THE SPUDMONSTERS – Bloodline
SECTION 8 – Chapter 11
KICKBACK – Start of the end

BOUM !

Skyy.


LIRE LA SUITE

White Groove

En 1998, Eddie Sutton et Pokey, respectivement chanteur et batteur de LEEWAY, se rencardent avec SOB (alias Javier Carpo) et Anthony Muccini, la section guitare de MERAUDER. En gros, les mecs les plus groovy s’allient aux mecs les plus heavy du hardcore new-yorkais. LIRE LA SUITE