Rentre dans la musique !

Tu es un cochon

« la répression sexuelle est extrêmement difficile à contester parce que les méthodes de répression sont devenues des stéréotypes, des types de comportement formels parfaitement admis et normaux. l’attitude émotionnelle qui consiste à voir dans la sexualité quelque chose de sale est tellement profondément inscrite dans la vie normale qu’une simple discussion à ce sujet est déjà impossible, vouée à l’échec, du fait de l’ancrage négatif de ces émotions dès la plus petite enfance. LIRE LA SUITE

Bebey Show

Francis Bebey – La condition masculine (Ozileka, 1976)

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Jean-Pierre Mocky: Machine à films

Il vient de sortir son XX film nommé « Le Mentor », il a encore quatre longs métrages dans ses tiroirs qu’il ne montre pas parce que ça le fait marrer, il reste prolifique dans une époque où la quantité a terrassé la qualité, il boit du lait de jument et peut tenir encore 50 ans «si son pancréas ne le lâche pas», et accessoirement, Mocky porte à merveille le nom d’une machine increvable destinée à percer les tranchées comme la bien-pensance… LIRE LA SUITE

Tous avec Gégauff !

« Interrogé par Radio Luxembourg sur les « évènements », Gégauff déclare: « Je suis pour l’ordre. »

Ça surprend, il s’explique:
« Je les trouve tous tellement infantiles ces exaltés. Tout va tourner en eau de boudin. J’ai le plus grand mépris pour les mouvements qui avortent et, comme je suis un peu un anarchiste de luxe, je n’aime pas beaucoup que les autres le soient. De même, je supporte très mal de voir mes vices chez autrui. Le désordre à bon marché m’ennuie et voir des esprits anarchistes s’embrigader et endosser l’uniforme comme le font ces garçons me paraît assez paradoxal et navrant. » LIRE LA SUITE

Lewis Dimmick: NYHC poet !

Il y a deux ans, le label Wardance Records rééditait officiellement pour la première fois la compilation New Breed, sortie sur cassette en 1989. Cette tape demeure la manifestation ultime du son hardcore new-yorkais, à l’image des deux autres disques-repères de cette scène : NYC Hardcore – The Way It Is et NYHC – Where the Wild Things Are?. Parmi tous ces groupes, dont certains sont morts dans l’œuf, il y avait Our Gang, des mecs qui voulaient jouer plus vite que les autres, «straight ahead» comme avant. LIRE LA SUITE

Travail Famille Retraite

« Je ne voulais pas devenir ce qu’étaient les autres, les gens. Ils me foutaient la trouille. Si vraiment il n’y avait que ça, le boulot, la famille, les gosses, la vieillesse et le trou au bout, alors c’était le désespoir. A moins d’offrir ça au petit Jésus, mais justement, le petit Jésus, y’en avait plus. Je croyais, je voulais de toutes mes forces croire à une vie autre, à une vie libre, bien à moi, une vie de vagabondage dangereux mais aimable dans le cher fouillis vert, maternel et nourricier. LIRE LA SUITE

Who cares ?

Attendant désespérément la note de Pitchfork pour me faire un avis sur ce disque (trop underground), je suis obligé à mon désarroi de me rabattre sur la chronique virtuose de Modzik… Masturbation ? Oui merci. LIRE LA SUITE

Colisseo Violento

Une vision apocalyptique

« Ainsi, la fausse expressivité du slogan constitue le nec plus ultra de la nouvelle langue technique qui remplace le discours humaniste. Elle symbolise la vie linguistique du futur, c’est-à-dire d’un monde inexpressif, sans particularismes ni diversités de cultures, un monde parfaitement normalisé et acculturé. Un monde qui, pour nous, ultimes dépositaires d’une vision multiple, magmatique, religieuse et rationnelle du monde, apparaît comme un monde de mort. LIRE LA SUITE