TOUS LES ARTICLES AVEC Rome

AMORE TOSSICO (1983)

Colisseo Violento

Vedi Napoli

VOIR NAPLES ET MOURIR AVANT ROME ? Telle est la question.
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LA CITTA DELLE DONNE (1980)

Quand Fellini filme le féminisme ça donne ce foutu film ! Pour une fois sans clown ni cirque (bon, un peu sur la fin). Le propos abordé avec ironie et un humour le plus total est personnifié par Marcello Mastroianni, macho à l’italienne qui, trop à l’écoute de son sexe, saute du train pour suivre une bella donna dans la nature. Il en risquera sa peau. Le pendard, dans sa folle odyssée, va rencontrer une jardinière très lubrique, le camp d’entraînement des premières femen, le Super-Homme, un vagin avaleur de perles, un musée des hommeurs, le plus grand lit du monde, le plus gros cul du monde, et des dizaines, des centaines, que dis-je, des milliers de femmes, militantes ou stimulantes, dans un surréalisme qui vire au fantasme ! Mais, tout ça n’était qu’un rêve ? LIRE LA SUITE

Les Ritals

LE SUD C’EST PAS L’ITALIE

« Rome, à la rigueur, bon, il y a le pape, il y a le roi… Quoique, ces deux-là, ils auraient pu se donner la peine de monter un poil plus haut, jusqu’à Milan, par exemple. Mais encore plus bas, c’est chez les Marocains. Des petits merdeux tout noirs, tout frisés, la peau verte, l’œil de rat, menteurs, voleurs, feignants, baiseurs de leurs sœurs, maquereaux de leurs mères, pédés, mangeurs de saletés pourries, planteurs de couteaux dans le dos, parleurs tellement vite que t’entends rien LIRE LA SUITE

Italia Violenta

Un attroupement dans la rue. Un corps gît sur le pavé. Soudain, une rafale de pistolet-mitrailleur. 2 motards casqués en noir surgissent de nulle part, et tuent quelques innocents au passage. Sirène stridente: un policier zélé et moustachu se lance à leur poursuite dans sa Fiat pourrie. Bienvenue en Italie ! Ou plutôt bienvenue dans le film policiesque, le polar criminel à l’italienne. Un genre très populaire dans les années 70, assurant la relève du western spaghetti en déclin, plus parlant et accessible que le giallo ou le macaroni combat qui sévissaient à la même période. LIRE LA SUITE

Un turbine di sesso e di politica

Les années 70 étaient une autre époque. Les comédies y étaient franches, graveleuses, mais rarement anodines. Surtout si l’on se tourne vers le cinéma italien. Lina Wertmüller, moins réputée que les Risi, Monicelli, Comencini, et pour cause son nom d’origine suisse n’est pas vraiment issu du peuple de la botte. Et pourtant, sous sa casquette piquée à Audiard, ça chauffe dur. Sa descendance aristocratique l’amène à ne pas se rouler dans la fange artistique mais à ne pas se gêner pour y rouler ses acteurs! Elle saura amener ce cinéma populaire, des bordels aux usines, à un degré rarement égalé. LIRE LA SUITE