- CATEGORIES |
- INTERVIEWS |
- MUSIQUE |
- HARDCORE |
- INDUS/NOISE |
- SYNTH/WAVE |
- ELECTRO/TECHNO |
- PUNK/ROCK |
- INDIE/POP |
- RAP |
- METAL |
- CINEMA |
- FILMS NOUVEAUX |
- FILMS 00’s |
- FILMS 90’s |
- FILMS 80’s |
- FILMS 70’s |
- FILMS ANCIENS |
- LECTURES |
- BIOGRAPHIE |
- LITTERATURE |
- PHILOSOPHIE |
- REVUE |
- SOCIOLOGIE |
- ART |
- PLAYLISTS |
- PRESSE |
- VIDEOS |
- Contact |
TOUS LES ARTICLES AVEC Voyou
Les Gens de la pluie
Qui est Coppola en 1968, l’année où est tourné The Rain People ? C’est déjà un cerveau qui déborde. En 1962, poursuivant un cursus cinéma à l’UCLA, il en profite pour réaliser des petits films d’horreur et un western softcore inititulé L’Ouest sauvage et nu. Sacré nom. Il devient ensuite l’assistant du célèbre Roger Corman qui lui demande d’abord de recouper des films étrangers pour les USA, avant de le laisser diriger son premier long-métrage d’horreur, le culte Dementia 13. Coppola va ensuite se débrouiller pour s’installer durablement dans la profession, via notamment un job fixe de scénariste pour le puissant Sevent Arts. Quelques scripts, un teen movie et une comédie musicale ratée plus tard, Francis n’a pas encore 30 ans et est déjà vacciné de son expérience avec les gros studios. C’est dans ces circonstances que se tourne le premier film 100% Coppola (écrit, réalisé et produit par) : The Rain People, dont son ami George Lucas tirera le documentaire Filmmaker.
LA DÉROBADE (1979)
Les mémoires d’une pute française : voilà le titre international de ce film de Daniel Duval (tête connue du POLAR 80). Interdit aux moins de 16 ans à sa sortie, c’est un des trucs les plus durs de l’époque. Une spirale infernale de la dépravation dans laquelle Miou-Miou tient les rennes, tête haute et cul bombé. LIRE LA SUITE
DERNIERS COMMENTAIRES