TOUS LES ARTICLES AVEC Bordel

Jeunes et Vieux

« Bordel! les jeunes sont tous débiles idiots blablaveux boutonneux tout naves… soit!… les « Incarneurs de la Jeunesse »! évident! pour la raison qu’ils sont pas « faits »… les vieux? tout suinteux radoteux, inimaginables de haine et d’horreur pour tout ce qui arrive! et qui va venir! pour la raison qu’ils le sont de trop, eux, « faits »!… LIRE LA SUITE

Un turbine di sesso e di politica

Les années 70 étaient une autre époque. Les comédies y étaient franches, graveleuses, mais rarement anodines. Surtout si l’on se tourne vers le cinéma italien. Lina Wertmüller, moins réputée que les Risi, Monicelli, Comencini, et pour cause son nom d’origine suisse n’est pas vraiment issu du peuple de la botte. Et pourtant, sous sa casquette piquée à Audiard, ça chauffe dur. Sa descendance aristocratique l’amène à ne pas se rouler dans la fange artistique mais à ne pas se gêner pour y rouler ses acteurs! Elle saura amener ce cinéma populaire, des bordels aux usines, à un degré rarement égalé. LIRE LA SUITE

Bordel !

« J’en conclus que la légende valait mieux que la vie, et que le style, en littérature, surpassait le fond. L’important n’était pas la substance, ce vilain mot de philosophe, la forme, la tournure, en un mot: l’élégance. C’est ainsi, je crois, que l’on peut définir le genre hussard (même si nombre d’entre eux rejetèrent l’appellation): la beauté plutôt que les idées, les formules contre les discours et le panache comme remède à l’ennui. Cette morale si peu morale m’enchantait. LIRE LA SUITE