TOUS LES ARTICLES AVEC Anarchie

Communautés et AAO

« Otto Muehl a incarné comme personne la schizophrénie collective du XXème siècle: monarchie, démocratie, communisme, fascisme, lutte des classes, révolution sexuelle, mouvement de la jeunesse, mouvement féministe, culture hippie, terrorisme, obéissance, résistance, dada, surréalisme, modernité, postmodernité… Il était anarchiste et “Leader Maximo”, artiste magnifique et petit-bourgeois mégalomane, victime et coupable, briseur anti-autoritaire de tabous et “paranoïaque archaïque”. » Citation et photo de Theo Altenberg, ex-membre des AAO en Autriche.

Otto Muehl, les communautés hippie des années 70, la secte AAO, la France contre le Système, lisez le topo complet sur le sujet dans la livraison n°9 de la revue Schnock, disponible depuis une semaine sur vos étalages. Vous y trouverez aussi des articles de fond sur le côté obscur de Coluche, le côté coquin de Paul Newman, le côté vilain de Paul Gégauff et comme d’hab des tas d’autres trucs mieux qu’Internet.

Comme les Loubards 70, le dossier Communautés 70 toujours croqué par Freak City est consultable en PDF ici.

Anarcho-Chrétien !

« Il est impératif d’enrayer ce mouvement programmé pour tuer la démocratie et le plaisir de vivre ensemble. Notre capacité à l’insolence doit être maintenue en vie. C’est pourquoi, par fidélité à Pasolini, je me définis par intuition comme anarcho-chrétien. LIRE LA SUITE

PUNK PRESS

PUNK: Se dit d’un mouvement musical et culturel apparu en Grande-Bretagne vers 1975 et dont les adeptes affichent divers signes extérieurs de provocation (crâne rasé avec une seule bande de cheveux teints, chaînes, épingles de nourrice portées en pendentifs, etc.) afin de caricaturer la médiocrité de la société. (Larousse) LIRE LA SUITE

Playlist #37: SPIKE WARS

UK82
01 DISCHARGE – Doom’s day
02 CHARGED G.B.H. – Time bomb
03 THE EXPLOITED – War
04 A.B.H. – Wanna riot
05 EXTERNAL MENACE – Main street riot
06 ABRASIVE WHEELS – Vicious circle
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Un turbine di sesso e di politica

Les années 70 étaient une autre époque. Les comédies y étaient franches, graveleuses, mais rarement anodines. Surtout si l’on se tourne vers le cinéma italien. Lina Wertmüller, moins réputée que les Risi, Monicelli, Comencini, et pour cause son nom d’origine suisse n’est pas vraiment issu du peuple de la botte. Et pourtant, sous sa casquette piquée à Audiard, ça chauffe dur. Sa descendance aristocratique l’amène à ne pas se rouler dans la fange artistique mais à ne pas se gêner pour y rouler ses acteurs! Elle saura amener ce cinéma populaire, des bordels aux usines, à un degré rarement égalé. LIRE LA SUITE