Pas plus de douze lettres à la seconde, oh !

Ils ne se ressemblent en rien. Et pourtant, Stanislas Raguenet et Alexander Whitelaw appartiennent tous deux à cette profession qui répond au nom barbare de sous-titreur (ou adaptateur). À l’heure de la profusion sur la Toile des fansubs (un exemple de fansub raté ci-dessus!), ces hommes de l’ombre nous présentent leur métier, dont l’exercice est de plus en plus compliqué.

Un article à lire en intégralité ici ou dans le magazine Trois Couleurs #121.

ZONE 80

Belmondo Funk, Buffet Froid, Bomber Fourré : ENTREZ DANS LA ZONE

L’HOMME BLESSÉ (1983)

Moi, Henri F., 17 ans, pédé, prostitué.
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Excentriques ?

« Mais revenons à nos excentriques. Ce ne sont pas des fous bien qu’ils émettent de tels paradoxes qu’on est en droit de se demander s’ils jouissent de leur bon sens. Car, enfin, l’homme raisonnable ne pense pas autrement que tout le monde n’est-ce pas ? Il se contente du petit train-train de la vie et ne cherche pas midi à quatorze heures. LIRE LA SUITE

Complément d’enquête : The Cro-Mags

La gloire, le succès, la déchirure, les embrouilles entre skinheads, krishnas, drogués, labels et tourneurs, la reformation, les reformations, les alliances, les trahisons… Cro-Mags a tout connu. Le groupe formé en 1982 aura vu toute la scène New York Hardcore des années 80 et 90 défiler dans ses rangs et est devenu le parrain de ce son crossover hardcore/metal qui est aujourd’hui la norme. Tout ça grace aux riffs surpuissants de Parris Mayhew. Il n’a rien à vendre, ni rien à gagner, il ne concocte pas de smoothies, il ne poignarde pas non plus ses anciens collègues : l’ancien guitariste et cofondateur des Cro-Mags a juste répondu calmement à toutes les questions qu’on pouvait se poser sur le plus célèbre des groupe de hardcore.

L’INTERVIEW EN FRANÇAIS // U.S. ENGLISH VERSION // LE THREAD SUR LE FORUM BRIDGE 9 !

20 ans de Cro-Mags.

Polar80 : Appel à Centrale


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Presse-Revues

SCHNOCK #10
10 numéros, 3 ans, une compile, c’est la fête. La couv’ illustre la meilleure partie de tennis jamais filmée dans l’histoire du cinéma. Celle de Nous irons tous au paradis, la suite d’Un éléphant ça trompe énormément, le dyptique d’Yves Robert. Un des quelques exemples de suites qui surpassent l’original. Sur le court : Claude Brasseur, Victor Lanoux, Guy Bedos et Jean Rochefort qui interviennent tous dans la revue. Enfin pas Rochefort malheureusement, remplacé par Marthe Villalonga et Annie Duperey, c’est dur pour gagner un set. LIRE LA SUITE

LISTE NOIRE (1984)

Bonnes ambiances, bons plans (rade abandonné, décharge auto, garages, hangars déserts, etc), bonne synth-music d’Alain Wisniak (entre Carpenter, Eric Serra et Gitan Dream), bons acteurs mauvais (la palme revient à Bernard Brieux, future voix française de Robert Downey Jr. et Viggo Mortensen, avec son génial : « c’est trop con quoi !« ), bonnes dégaines de loubards, bons coups de feu, bon Jean-Claude Dreyfus, bonnes déprimes, mais quelques semi-longueurs et une course-poursuite non-urbaine moyenne qui nous laisse un peu sur notre faim. Au milieu de tout ça, Annie Girardot, ex-pilote de rallye (?!), ni bonne ni mauvaise. Juste Girardot et un peu Vigilante. Franchement, ce film d’Alain Bonnot (sa seule réalisation avec le polar portuaire UNE SALE AFFAIRE) est plutôt bonnard. A noter: l’inspecteur s’appelle Kalinski et a carrément dû inspirer qui vous savez (il y a même un autre type qui s’appelle Tellier…).

Alain Delon et les Minettes

Décennie dramatique pour Delon mais ultra réjouissante pour tout fan de Polar80, sa filmographie de 1980 à 1988 révèle six trésors, allant du téléfilm le plus merdiquement chiant à la palme d’or du politiquement incorrect. Comme dirait Jacques Perrin : parole de flic. LIRE LA SUITE

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