TOUS LES ARTICLES AVEC Alain Delon

Alain Delon & Alain Delon

« Distinguer dans la filmographie d’Alain Delon ce qui relève du cinéma commercial et ce qui appartient au cinéma d’auteur ne permet pas, dans un premier temps, de comprendre le cas unique d’un acteur dont les caractéristiques procèdent davantage du donné que du construit. Il s’agit plutôt de constater, à la vision de ses films, tous genre confondus, la présence d’un pouvoir unique, d’une force, d’un magnétisme qui transcende le plus banal polar et auxquels s’est ajusté le regard des grands cinéastes. Il n’y a rien dans le jeu de Delon qui s’apparente au paradoxe du comédien, pas plus qu’à l’idée, issue de la Méthode, selon laquelle il faut vivre ses rôles. On pourrait dire, bien davantage, que ce sont ses rôles qui le vivent. Ses films sont d’abord des documentaires sur Delon. (…) LIRE LA SUITE

Alain Delon et les Minettes

Décennie dramatique pour Delon mais ultra réjouissante pour tout fan de Polar80, sa filmographie de 1980 à 1988 révèle six trésors, allant du téléfilm le plus merdiquement chiant à la palme d’or du politiquement incorrect. Comme dirait Jacques Perrin : parole de flic. LIRE LA SUITE

Michael Winner aux USA (1971-1974)

« A team effort is a lot of people doing what I say. »

Avant de devenir le prince de la répartie implacable et incorrecte, Michael Winner s’est fait remarquer grâce à des comédies anglaises plus ou moins légères, à la mode du Swinging London des années 60, menées tambour battant par son premier acteur fétiche: le grand Oliver Reed. Leur dernière collaboration, Hannibal Brooks en 1969, mélangeant aventure, seconde guerre mondiale et film animalier, attire l’attention d’Hollywood. L’année d’après il y file diriger son premier film américain: LIRE LA SUITE

UGC Illimité 4 (1973)

Un comparatif illégitime, incohérent, impossible, et peut-être même incompréhensible, des films sortis cet été (2013) face à ceux sortis à l’été 1973. Une époque où les « pâtés de tête » n’existaient pas et où les marques de parfum ne réalisaient pas de putain de bande-annonces.

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