J’avoue que je n’ai pas pu aller au bout de l’autre chef d’œuvre de Miklos Jancso, Les Sans Espoirs (Szegénylegények), qui comme celui-ci pourtant, dure moins d’1h30. Je ne dois pas être habitué à la narration cyclique du cinéma hongrois. Rouges et Blancs (Csillagosok, Katonák) répond pourtant au même type de schéma, deux armées se mènent la guerre au milieu de vastes plaines, se capturent, courent nus dans les bois, ou dans la Volga, se protègent dans des forts, hôpitaux ou monastères, et puis recommencent inlassablement, comme un jeu sans fin, le jeu de la guerre selon Miklos Jancso. LIRE LA SUITE
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