TOUS LES ARTICLES AVEC Polar

Michael Winner aux USA (1971-1974)

« A team effort is a lot of people doing what I say. »

Avant de devenir le prince de la répartie implacable et incorrecte, Michael Winner s’est fait remarquer grâce à des comédies anglaises plus ou moins légères, à la mode du Swinging London des années 60, menées tambour battant par son premier acteur fétiche: le grand Oliver Reed. Leur dernière collaboration, Hannibal Brooks en 1969, mélangeant aventure, seconde guerre mondiale et film animalier, attire l’attention d’Hollywood. L’année d’après il y file diriger son premier film américain: LIRE LA SUITE

Italia Violenta

Un attroupement dans la rue. Un corps gît sur le pavé. Soudain, une rafale de pistolet-mitrailleur. 2 motards casqués en noir surgissent de nulle part, et tuent quelques innocents au passage. Sirène stridente: un policier zélé et moustachu se lance à leur poursuite dans sa Fiat pourrie. Bienvenue en Italie ! Ou plutôt bienvenue dans le film policiesque, le polar criminel à l’italienne. Un genre très populaire dans les années 70, assurant la relève du western spaghetti en déclin, plus parlant et accessible que le giallo ou le macaroni combat qui sévissaient à la même période. LIRE LA SUITE

Rage Silencieuse

IRV OZ ne s’embarrasse pas de superflu. Pour produire une musique vivante qui doit tout à la Mort, il s’influence directement des géants de la musicalité. Un condensé d’ambiances à mi-chemin entre les compositeurs de B.O. italiens: Ennio Morricone, Goblin, Riz Ortolani et les jazzmen libres américains: Miles Davis, John Coltrane. Vrai, le sacré n’est pas une mode. LIRE LA SUITE

Words

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