LA VIRÉE SUPERBE (1974, Gérard Vergez)
Argenteuil, été 1973. « Un petit coin où Claude Monet… plantait souvent son chevalet… Au passage merci à Francine… sans qui ce film ne serait pas. » Le ton est donné d’entrée. Imaginez Les Valseuses tourné dans une MJC. Des potes s’emmerdent chaque week-end sur les bords de Seine et trompent leur ennui en faisant rugir leurs motos, comme le dit le pitch. Ils font aussi du théâtre, piquent des sacs à main et se battent avec les flics. C’est d’ailleurs un des leurs, Roger, qui se retrouve aux prises avec un képi en plein chantier de la Gare de Lyon, course-poursuite, paf, bang, drame. De là, blessé à la jambe, le fugitif tombera sur un autre fugueur (moment relou du film), qui l’entraînera dans une prise d’otages loufoque lors d’une teuf de meufs, le soir du 14 juillet. LIRE LA SUITE
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