TOUS LES ARTICLES AVEC Amérique

Playlist #51 : Please, listen to my Emo

EMO101 (1990 – 2000)

01 – The Hated – Fly – 1990 (MD)
02 – Fugazi – Blueprint – 1990 (DC)
03 – Jawbreaker – Equalized – 1990 (CA)
04 – Fuel – Cue to You – 1990 (CA)
05 – Reason To Believe – Far – 1990 (CA)
06 – Bad Yodelers – I Wonder – 1990 (UT)
07 – Ivy League – Inside – 1990 (IL)
08 – Supertouch – How You Feel – 1990 (NY)
09 – Turning Point – Thursday – 1991 (NJ)
10 – 411 – The Naked Face – 1991 (CA)
11 – Jones Very – No More – 1991 (IL)
12 – Greyhouse – November 26th – 1991 (NJ)
13 – One – Pinwheel – 1991 (WV)
14 – Gravel – Eidolon – 1991 (MA)
15 – Moss Icon – Gravity – 1991 (MD)
16 – Heroin – Indecision – 1991 (CA)
17 – Samiam – At the Bottom – 1991 (CA)
18 – Sense Field – Voice – 1991 (CA)
19 – Triggerman – Running Out – 1992 (CA)
20 – Eidolon – Cranes – 1992 (MA)
21 – Split Lip – Sleep – 1993 (IL)
22 – Gauge – Midori – 1993 (IL)
23 – Friction – Squelch – 1993 (IL)
24 – Rain Still Falls – Cloth – 1993 (PA)
25 – Godspeed – April – 1993 (NJ)
LIRE LA SUITE

Le Rebelle (1949)

Incroyable film signé King Vidor (ce blaze), adapté du classique d’Ayn Rand The Fountainhead (La Source vive), sorti dix ans après Citizen Kane et qui le pulvérise en de nombreux points. Architecture, bipolarité, philosophie, pouvoir, folie; un plaidoyer pour l’Amérique dans ce qu’elle a de pire et de meilleur. A voir instantanément par ici.

MANGER

VIOLENT DAYS (2009)

Les Rockabs : qui sont-ils ? où vivent-ils ? Quels sont leurs réseaux ? C’est ce à quoi la réalisatrice Lucile Chaufour (également auteure de East Punk Memories) tente de répondre dans ce docu-fiction tourné au début des années 2000 entre Paris et Le Havre. Et on est à des kilomètres du film rock. Après des débuts façon Strip-Tease, où des jeunes, des vieux, des ouvriers, des coiffeuses, des couples, des familles entières racontent leur passion rock et leur idée du bonheur, face caméra, on suit une bande de potes direction le concert du mois façon Rumble Fish (toujours entre réalité et fiction). C’est d’ailleurs cette partie fiction qui fatigue un peu, lorsque les scènes patinent dans les rêveries de l’actrice principale, Marilyn de l’Oise. Le réel est tellement plus romantique ! Ancré dans tout ce qui avait court avant l’année 1964 (musique, look, parler), Violent Days transpose bien à l’écran noir & blanc le temps à l’arrêt, si caractéristique de la scène rockabilly. LIRE LA SUITE