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Baudelaire la baudruche

« Tenez, rouvrons les Fleurs du Mal. Voici l’Homme et la Mer. Rassurez-vous, je me bornerai à en lire le premier vers : Homme libre, toujours tu chériras la mer. Affirmation péremptoire et gratuite. Un homme libre peut très bien détester la mer. Voyons maintenant les Chats. Le sonnet commence ainsi : Les amoureux fervents et les savants austères – Aiment également en leur mûre saison — Les chats puissants et doux… Je vous le demande, pourquoi les amoureux et les savants aimeraient-ils nécessairement les chats et pourquoi en leur mûre saison ? LIRE LA SUITE