TOUS LES ARTICLES BIOGRAPHIE

Nigga Please

« La tradition veut que, en France, les rappeurs US se soient toujours fait malmener. Les premières traces des conflits remontent au concert de RUN DMC/Beastie Boys au Rex en 1987. J’avoue aujourd’hui avoir humblement contribué à la légende de ce jour-là, en mettant la première patate dans la bouche d’un roadie des RUN DMC, Hurricane, qui se la pétait un peu trop à mon goût. Dix minutes après la fin du concert, leur bus de tournée était dévasté par cent cinquante B. Boys en furie. LIRE LA SUITE

Arleime quoi !

« Harlem. A force de chansons qui le citent, le nom lui-même en est venu à se charger d’une force propre. Le mot « chien » ne mord pas, mais un peu comme Chinatown, casbah, souk, cour des Miracles, royaume d’Argot, Vieux-Port de Marseille, quartier français de la Nouvelle-Orléans, le mot Harlem sécrète de ces choses! Hmmmm, Harlem, mesdames messieurs, je ne vous dis que ça! LIRE LA SUITE

Requin de Paris à Berlin

« J’avais dans ma clientèle des zonards des Halles et des sapeurs de Château-d’Eau, je remplissais mon carnet de commande : une Weston chasse taille 43, un mocass’ Weston lézard en 42, un flight jacket taille 48, un perfecto noir ceinture et un marron à franges… Je livrais en vingt-quatre heures. Pour dépouiller, je bossais seul, mais sur certaines opérations ponctuelles je prenais des complices. On descendait dans des magasins bien ciblés, et pendant que certains se chargeaient de la sécu ou des vendeurs, les autres vidaient les rayons et la réserve en remplissant des sacs de sport. LIRE LA SUITE