TOUS LES ARTICLES AVEC America

It’s a… Mad World

ROLAND ORZABAL: “Mad World” was a shock. It was supposed to be the B-side of “Pale Shelter.” But when I played it to Dave Bates, he said, “That’s a single.” Thank God. I never particularly liked “Mad World” very much. But that’s why I mucked about with it so much in the studio—programmed it up, spent a long time getting it into the state that it ended up in on The Hurting. I couldn’t sing it. I still can’t sing it—it just doesn’t work. I did a quick double track and hated it. I said to Curt, “You sing it.” And it was much, much better. He’s got a soft resonance to his voice. “Mad World” is, I think, the best vocal he’s ever done. It was recorded brilliantly, and it’s just incredibly haunting. In the early days, I’d just write the songs, and if I couldn’t think of some lyrics, I’d ask Curt to do them. When we started off, it was very much Curt as frontman and me as studio boffin. It was like that until “Shout.” Because it was such a big hit, when we got to America, people saw us more as cofrontmen. Certainly, in the early days in England, Curt was the pop star, and I was in the background.

CURT SMITH: The recording of “Mad World” took a while, but writing it took an afternoon. We were sitting on the second floor of the Bath flat that Roland used to live in, looking down on people dressed in suits going to work, coming back from work, thinking, What a mundane life these people must live. Although since then, I’ve longed for that.

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JOE (1970)

Avant Rocky, John G. Avildsen a réalisé peut-être l’un des meilleurs films de 1970, Joe. LIRE LA SUITE

Architecture et Modernité

ON NAÎT MODERNE

« Plutôt qu’un rapprochement, la confrontation entre l’Amérique et l’Europe fait apparaître une distorsion, une coupure infranchissable. Ce n’est pas seulement un décalage, c’est un abîme de modernité qui nous sépare. On naît moderne, on ne le devient pas. Et nous ne le sommes jamais devenus. LIRE LA SUITE

Les Aventures de la Musique Américaine

LE ROCK’N’ROLL

Ça et là, dans l’histoire de la musique américaine, on trouve un Blanc qui désire être noir avec, exceptionnellement, une montre à l’heure: être noir, à la façon des Afro-Américains de son âge. Plutôt que se barbouiller la peau, celui-là veut être noir de l’intérieur: hip, cool et la suite. Pour lui, le mot minstrel ne convient pas; il est cet oxymoron, un white hispter, un mec à la coule, bien que blanc. LIRE LA SUITE

Arleime quoi !

« Harlem. A force de chansons qui le citent, le nom lui-même en est venu à se charger d’une force propre. Le mot « chien » ne mord pas, mais un peu comme Chinatown, casbah, souk, cour des Miracles, royaume d’Argot, Vieux-Port de Marseille, quartier français de la Nouvelle-Orléans, le mot Harlem sécrète de ces choses! Hmmmm, Harlem, mesdames messieurs, je ne vous dis que ça! LIRE LA SUITE

Il n’y a pas de culture ici…

« …pas de discours culturel. Pas de ministère, pas de commissions, pas de subventions, pas de promotion. Le trémolo culturel qui est celui de la France entière, ce fétichisme du patrimoine – rien ici de cette invocation sentimentale, et qui plus est aujourd’hui: étatique et protectionniste. LIRE LA SUITE