TOUS LES ARTICLES AVEC Carole Laure

BORN FOR HELL (1976)

Un vétéran du Vietnam se retrouve perdu en Irlande du Nord en pleine guerre civile. Pourquoi, comment ? Ce n’est pas le problème. Son seul objectif : rentrer en Amérique et échapper aux bombes et aux rafales de mitrailleuse. Seulement Cain Adamson n’est pas un soldat comme les autres, la mort ne lui fait évidemment plus peur (il allume une clope sur un macchabée dès la première scène de tuerie à l’église) pur ne pas dire qu’elle l’excite. Il a choisi de se tatouer sa devise sur le bras : « born for hell ». Une assemblée d’étudiantes infirmières (comprenant au passage Carole Laure et Christine Boisson) logeant dans la même maison va malheureusement en faire les frais. Comme si les affrontements sanglants entre catholiques et protestants ne suffisaient pas, elles vont connaître l’enfer, pendant une nuit entière. Huit ans avant Combat Shock, ce film extrêmement cru du Québécois Denis Héroux (également nommé Naked Massacre) a été tourné à Belfast, Dublin et Hambourg et s’inspire du tueur américain qui tortura huit infirmières à Chicago lors d’une nuit de juillet 1966. Âmes sensibles, circulez !

UN ASSASSIN QUI PASSE (1981)

Richard Berry est Jacques, employé de banque de 9h à 17h, et psychopathe sexuel le reste du temps. Ce petit maniaque du cran d’arrêt est amoureux d’une actrice (Carole Laure, dont la tête est éparpillée sur tous les patchworks qui ornent les murs de sa studette) et il passe sa frustration de ne pouvoir la tringler sur les prostituées de son quartier. Les cadavres s’accumulent. LIRE LA SUITE