TOUS LES ARTICLES RAP

Playlist #44 : France80

01 FRANCOIS FELDMAN – En transe comme les Dj’s (1980)
02 THIERRY PASTOR – La fille du Nordica (1982)
03 PLAISIR – Fou de toi (1982)
04 ALEC MANSION – Maintenant (1983)
05 MICKY MILAN – Champion (1983)
06 ÉLÉGANCE – Jamais de risque (1983)
07 DIDIER MAKAGA – Watcha (1984)
08 KATIA – La pin-up des pick-up (1984)
09 BIBI FLASH – Vie privée (1984)
10 RAOUL PETITE – Oh! Louise (1984)
11 DEE NASTY – Délirer un peu (1984)
12 B-SIDE – Paris-taxi (1985)
13 LE PRÉSIDENT SHÛ-SHAN – Boum! Un coup d’matraque (1985)
14 CREOLE STAR – Funky dance (1985)
15 KRAFTCHIK – C’est l’enfer (1985)
16 MARTIN CIRCUS – Pourquoi tu m’laches pas ? (1985)
17 MANUEL GELIN – J’te cherche partout (1985)
18 ABSOLUTE FANTAISIE – Dans tes bras (1986)
19 KEVIN MORANE – Victime (1986)
20 ISABELLE – Fun safari (1986)

NO MIX, NO SCRATCH, JUST PURE IMPACT !

« Une histoire orale du boogie français » : À lire dans la revue Audimat #3

Micky Milan : l’interview définitiveà lire sur Noisey.

Skyy.


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2014 après la chute de New York

2014, la Troisième Guerre mondiale est terminée depuis vingt ans. La Terre est désormais soumise à la tyrannie de la Trap qui impose avec une poigne de fer sa loi à tous les survivants. New York n’est plus qu’un champ de ruines, peuplé de malheureux rappeurs irradiés. Les Rastaks et leurs chasseurs s’y introduisent parfois pour capturer certains de ces mutants afin de les utiliser comme cobayes dans des expériences dédiées à la production. L’humanité affronte un drame terrible : suite aux quantités délirantes de crack qui ont été répandues sur Terre, plus aucun rappeur n’est fertile… Le Migos Gang, une organisation rebelle, capture Young Scooter, un aventurier, et le force à se rendre à New York afin d’y trouver des rescapés, supposés être cachés quelque part dans cette dangereuse cité…


YOUNG SCOOTER – Roadrunner 2 (Street Lottery 2) LIRE LA SUITE

Pimpfork


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Nickatina

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The Infamous

1. GENESIS

Albert « Prodigy » Johnson naît le 2 novembre 1974 à Hempstead, Long Island, au sein d’une famille dédiée au monde du spectacle. Grand-père célèbre jazzman apprit à lire à Quincy Jones, Grand-mère jadis danseuse au Cotton Club et matronne d’une fameuse école de danse New-Yorkaise et Maman qui chantait dans The Crystals en 1962. Il était évident que le petit Prodige n’allait pas finir maçon. LIRE LA SUITE

Housse de Racaille

« Bad Cowboy » prouve une 7ème fois (disques de rue compris) l’indétrônable humour protache du Docteur Punchline alias SETH GUEKO, le gitan qui en fait n’en est pas un. Reconverti au look « Agnostic Front » depuis sa virée aux States, le duc de St Ouen L’Aumône est partout et vous cause maintenant de Thaïlande. LIRE LA SUITE

Under Covers

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Nigga Please

« La tradition veut que, en France, les rappeurs US se soient toujours fait malmener. Les premières traces des conflits remontent au concert de RUN DMC/Beastie Boys au Rex en 1987. J’avoue aujourd’hui avoir humblement contribué à la légende de ce jour-là, en mettant la première patate dans la bouche d’un roadie des RUN DMC, Hurricane, qui se la pétait un peu trop à mon goût. Dix minutes après la fin du concert, leur bus de tournée était dévasté par cent cinquante B. Boys en furie. LIRE LA SUITE

Cold as Cash

PRINCE CHARLES & THE CITY BEAT BAND – Stone killers (1982, ROIR/Virgin) LIRE LA SUITE