TOUS LES ARTICLES AVEC Paris

Du Pognon et des Arbres

BOULEVARD (1960)

Jean-Pierre Léaud dit « Jojo », perpétue la gouache des 400 Coups et joue maintenant au bonhomme sur les toits de Paris. Habitant une chambre de bonne qui donne sur Pigalle, la payant on ne sait comment, il passe son temps à traîner entre le bistrot de son père (veuf et faible) et son toit, où il emmène à l’occase une poupée pour lui montrer la puissance de la ville lumière. LIRE LA SUITE

Rage Silencieuse

IRV OZ ne s’embarrasse pas de superflu. Pour produire une musique vivante qui doit tout à la Mort, il s’influence directement des géants de la musicalité. Un condensé d’ambiances à mi-chemin entre les compositeurs de B.O. italiens: Ennio Morricone, Goblin, Riz Ortolani et les jazzmen libres américains: Miles Davis, John Coltrane. Vrai, le sacré n’est pas une mode. LIRE LA SUITE

Nigga Please

« La tradition veut que, en France, les rappeurs US se soient toujours fait malmener. Les premières traces des conflits remontent au concert de RUN DMC/Beastie Boys au Rex en 1987. J’avoue aujourd’hui avoir humblement contribué à la légende de ce jour-là, en mettant la première patate dans la bouche d’un roadie des RUN DMC, Hurricane, qui se la pétait un peu trop à mon goût. Dix minutes après la fin du concert, leur bus de tournée était dévasté par cent cinquante B. Boys en furie. LIRE LA SUITE

MÉTROPOLITAIN 77

GABIN (1930-1976): Le Printemps du Cinéma

La vie est un couloir où j’me suis toujours senti à l’étroit.

En effet, le père Gabin a à peu près tout joué durant sa longue carrière qui frôle la centaine de rôles. Il y a quelques mois, FredleJUSTE a mis en ligne près de la moitié des films en question. C’est le printemps du cinéma sur YouTube. LIRE LA SUITE

Requin de Paris à Berlin

« J’avais dans ma clientèle des zonards des Halles et des sapeurs de Château-d’Eau, je remplissais mon carnet de commande : une Weston chasse taille 43, un mocass’ Weston lézard en 42, un flight jacket taille 48, un perfecto noir ceinture et un marron à franges… Je livrais en vingt-quatre heures. Pour dépouiller, je bossais seul, mais sur certaines opérations ponctuelles je prenais des complices. On descendait dans des magasins bien ciblés, et pendant que certains se chargeaient de la sécu ou des vendeurs, les autres vidaient les rayons et la réserve en remplissant des sacs de sport. LIRE LA SUITE

C. comme Casual

« Les habitués, ça fait vraiment plaisir, cela montre que mon concept et ma personnalité leur parlent et ça récompense tous les efforts que ce métier exige. D’ailleurs, certains clients finissent même par devenir des potes. «Martin C» c’est aussi un esprit Famille ! Si tu veux rejoindre le clan parce que tu te trouves en affinité avec l’univers proposé et que tu respectes certaines règles, tu seras le bienvenu. »

Un entretien avec le patron du shop mod & casual de Paris à lire ICI.
Toi aussi rejoins le clan et n’hésite pas à passer écouter les morceaux qu’il propose ci-dessous en meilleure qualité directement à la boutique. LIRE LA SUITE

KICKBACK: En noir et contre tout

Dans l’attente du bréviaire «Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur Kickback», voici un bilan d’anti-carrière du groupe le plus « insérez-un-adjectif-sulfureux » de France, réduit à un trident bien aiguisé composé de Stephen, Pascal et Damien. L’entretien s’est déroulé dans une cave du 18ème arrondissement, véritable paradis ou purgatoire pour rats de bibliothèque. Le groupe était réuni géographiquement pour une tournée européenne fin 2012, qui n’était finalement pas la dernière puisqu’ils seront bientôt de retour. Une conversation en 55 000 mots qui se révèle aussi longue et disparate que leur parcours. LIRE LA SUITE

BABY BLOOD (1990)