TOUS LES ARTICLES FILMS ANCIENS

VIVE LE TOUR (1962)

Du Pognon et des Arbres

BOULEVARD (1960)

Jean-Pierre Léaud dit « Jojo », perpétue la gouache des 400 Coups et joue maintenant au bonhomme sur les toits de Paris. Habitant une chambre de bonne qui donne sur Pigalle, la payant on ne sait comment, il passe son temps à traîner entre le bistrot de son père (veuf et faible) et son toit, où il emmène à l’occase une poupée pour lui montrer la puissance de la ville lumière. LIRE LA SUITE

MACUNAIMA (1969)

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GABIN (1930-1976): Le Printemps du Cinéma

La vie est un couloir où j’me suis toujours senti à l’étroit.

En effet, le père Gabin a à peu près tout joué durant sa longue carrière qui frôle la centaine de rôles. Il y a quelques mois, FredleJUSTE a mis en ligne près de la moitié des films en question. C’est le printemps du cinéma sur YouTube. LIRE LA SUITE

Malice de loup ça se gueule

« On croit toujours que c’est le renard qui est fin. Les loups le sont. La cruauté, voyez-vous, inspire. Le loup qui est bien plus cruel que le renard est bien plus fin que lui. Malice de renard ça s’évente encore. Malice de loup!… LIRE LA SUITE

ROUGES ET BLANCS (1967)

J’avoue que je n’ai pas pu aller au bout de l’autre chef d’œuvre de Miklos Jancso, Les Sans Espoirs (Szegénylegények), qui comme celui-ci pourtant, dure moins d’1h30. Je ne dois pas être habitué à la narration cyclique du cinéma hongrois. Rouges et Blancs (Csillagosok, Katonák) répond pourtant au même type de schéma, deux armées se mènent la guerre au milieu de vastes plaines, se capturent, courent nus dans les bois, ou dans la Volga, se protègent dans des forts, hôpitaux ou monastères, et puis recommencent inlassablement, comme un jeu sans fin, le jeu de la guerre selon Miklos Jancso. LIRE LA SUITE

Un monde qui a dû éclater…

« A midi, tout est couvert, tout est effacé, il n’y a plus de monde, plus de bruits, plus rien. Des fumées lourdes coulent le long des toits, et emmantellent les maisons; l’ombre des fenêtres, le papillonnement de la neige qui tombe l’éclaircit et la rend d’un rose sang frais dans lequel on voit battre le métronome d’une main qui essuie le givre de la vitre, puis apparaît dans le carreau un visage émacié et cruel qui regarde. LIRE LA SUITE