TOUS LES ARTICLES FILMS ANCIENS

Alain Delon & Alain Delon

« Distinguer dans la filmographie d’Alain Delon ce qui relève du cinéma commercial et ce qui appartient au cinéma d’auteur ne permet pas, dans un premier temps, de comprendre le cas unique d’un acteur dont les caractéristiques procèdent davantage du donné que du construit. Il s’agit plutôt de constater, à la vision de ses films, tous genre confondus, la présence d’un pouvoir unique, d’une force, d’un magnétisme qui transcende le plus banal polar et auxquels s’est ajusté le regard des grands cinéastes. Il n’y a rien dans le jeu de Delon qui s’apparente au paradoxe du comédien, pas plus qu’à l’idée, issue de la Méthode, selon laquelle il faut vivre ses rôles. On pourrait dire, bien davantage, que ce sont ses rôles qui le vivent. Ses films sont d’abord des documentaires sur Delon. (…) LIRE LA SUITE

LES COEURS VERTS (1966)



« Zim et Jean-Pierre, deux adolescents des HLM de Nanterre sont libérés en même temps de prison où ils ont été détenu pour des infractions mineures. Pour rejoindre leur banlieue, il leur faut passer par Paris qu’ils voient pour la première fois réellement, après la pression de l’enfermement. De retour dans leur famille, les deux jeunes hommes tentent de trouver un certain équilibre, de devenir des hommes. Jean-Pierre trouve un emploi; Zim, lui, retourne en prison. »

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Paris Interdit !

THUNDER ROAD (1959)

Robert Mitchum plus Mitchum que jamais est contrebandier d’alcool, tradition de père en fils, et est chargé de transporter du whiskey à même le réservoir de sa grosse Ford gonflée à bloc, que flics comme gangsters rivaux n’arrivent jamais à rattraper. LIRE LA SUITE

Bloody Gangsters

Le Monde du Mondo

Haï par les uns, détesté par les autres, le Mondo a fêté sa cinquantième année. Le chocumentaire, discret depuis les années 80, s’apprête à pousser un dernier râle. Jeptha, un réalisateur italien, veut mettre son poing final à l’histoire avec un film évidemment intitulé «Made in Italy».

Mondo: Genre de cinéma d’exploitation caractérisé par une approche pseudo-documentaire très crue, dont le montage et le choix des images mettent en avant un aspect racoleur ou choquant du thème (en privilégiant par exemple l’exotisme, le sexe et la violence).

Cette introduction au genre est parue dans le #116 de Trois Couleurs.

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Mad Man

Mad Movies, Movies 2000, Impact, Ze Craignos Monsters, Metaluna Production, L’Affiche version Ghana… Toutes ces choses qui ont marqué cinématographiquement le pays proviennent de l’esprit de l’homme qu’on nomme Jean-Pierre Putters. 57 ans, toutes ses dents, Monsieur Mad revient à travers le gros livre « Mad… ma vie » (on reconnaît toujours cette fine frontière entre le génie du jeu de mot et la gaudriole gênante) sur sa vie placée sous le signe du fantastique. LIRE LA SUITE

THE DEVIL’S TOY (1966)

Jean-Pierre Mocky: Machine à films

Il vient de sortir son XX film nommé « Le Mentor », il a encore quatre longs métrages dans ses tiroirs qu’il ne montre pas parce que ça le fait marrer, il reste prolifique dans une époque où la quantité a terrassé la qualité, il boit du lait de jument et peut tenir encore 50 ans «si son pancréas ne le lâche pas», et accessoirement, Mocky porte à merveille le nom d’une machine increvable destinée à percer les tranchées comme la bien-pensance… LIRE LA SUITE

LES COPAINS (1965)