TOUS LES ARTICLES AVEC Schnock

Le sale mec

« Aimant assez la logique des mots, je vais essayer de m’y cantonner, espérant ne pas me faire trop de nouveaux ennemis. Je suis nanti en ce domaine.

Le cinéma intellectuel n’existe pas, n’a jamais existé, n’existera jamais.

Le cinéma n’est pas un art.

Les gens qui entrent dans une salle de cinéma s’appellent des spectateurs. Le cinéma est donc un spectacle. Un grand film est destiné à plaire à des millions de spectateurs. On ne fait pas de l’art pour autant de gens. Il faudrait, par conséquent, faire des petits films. Or, le but d’un cinéaste est de faire des grands films. Du moins quand il le peut.

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n°20

Une revue à dépouiller, et Un Homme à abattre !

Comment ça va mes glandus ?

Où vous apprendrez pourquoi Philippe Noiret était l’acteur le mieux sapé de sa génération, l’origine des insultes « glandu » et « branquignol », que Bertrand Tavernier peut être sympa quand y veut, combien d’heures dormait Carlos pendant ses tournées et à quelle distance de sa tête Claude François voulait que le siège de son auto soit réglé, comment l’affichiste Bernard Villemot a transformé la marque Orangina, à quel point l’incarcération type « Midnight Express » de Pierre Clémenti a mis un coup à sa carrière, que Philippe Muray écrivait des romans de la série « Brigade Mondaine » pour arrondir ses fins de mois, comment Isabelle Adjani a accepté son rôle dans le mythique « Clara & les Chic Types » ou encore à quel point Michel Delpech en était justement un, de chic type. Schnock, la dernière revue où l’on apprend des trucs ?

« Les hommages c’est vraiment de la merde »

La revue de l’anti-actu revient à point nommé en ces temps troubles pour nous remettre dans le droit chemin, celui tout en zig-zag, en compagnie du Top des meilleurs sketchs français les plus drôles du monde, du Professeur Choron et de son pote François Cavanna (qui ont eu la bonne idée d’être morts avant 2015), de la saga Apéricube, des Nazis du cinéma français, des Schtroumpfs, d’Evariste, de Jean-Edern Hallier ou encore de l’oublié Alec Mansion. UNE EXPÉDITION GRATUITE !

Etait-ce vraiment nécessaire de tout foutre en l’air ?

« J’avais des copains là-bas, mais je n’étais pas d’accord avec eux, je trouvais ça disproportionné. J’ai trouvé 68 un peu opérette, bien que ça ait cogné fort. Mais était-ce vraiment nécessaire de cogner comme ça ? De tout foutre en l’air ? On était bien, on était dans dans une époque où la vie était plus facile. Je comprendrais qu’on se bastonne aujourd’hui, mais en 68 ? Je n’étais pas dans la rue, je n’ai envoyé de pavés sur personne, je n’ai pris aucun coup de matraque. J’avais siphonné de l’essence dans une voiture à Neuilly et j’étais parti à la campagne, au soleil. Je m’étais dit: « Je me tire de là. » C’est pas méchant ce que je dis, mais cette révolution n’en était pas une, elle était un peu incompréhensible pour moi. » LIRE LA SUITE

Je suis Schnock

Peur sur la ville ! Le n°13 de la revue Schnock est disponible depuis un mois maintenant et vous feriez bien de vous abonner tant qu’il est encore temps. Dans ce numéro baptisé « Arrière les Esquimaux! », ‘ça va c’est pas trop chaud ?’, vous apprendrez pas mal de trucs sur l’acteur préféré des Français (de l’ère pré-Kad Merad). LIRE LA SUITE

Les cons n’ont jamais de cancer

Tous les trois mois, il est toujours là, compact et souriant en coin, le dernier numéro de Schnock. Il m’est arrivé de sauter des articles mais pas encore de m’en lasser, et ce malgré le cap des 3 ans. Tu vas faire quoi Beigbeder ? Tu vas appeler les flics ? ‘culé ! Bon, dans ce douzième numéro consacré au mec qui pourrait plus dire aujourd’hui ce qu’il disait à l’époque et qu’on en fait plus des comme ça, oui, Pierre Desproges. C’était inévitable. Et pourquoi on s’en priverait, sérieux ? A l’heure même où LUI affiche son mauvais goût revendiqué sur tous nos kiosques. Nom de Dieu. LIRE LA SUITE

URGENCE (1985)

Un « article » paru dans le #11 de l’indispensable revue Schnock qui vient de fêter ses 3 ans avec Brigitte Bardot, les écrivains de Playboy, la fièvre du catch et tout un tas d’autres choses:

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Presse-Revues

SCHNOCK #10
10 numéros, 3 ans, une compile, c’est la fête. La couv’ illustre la meilleure partie de tennis jamais filmée dans l’histoire du cinéma. Celle de Nous irons tous au paradis, la suite d’Un éléphant ça trompe énormément, le dyptique d’Yves Robert. Un des quelques exemples de suites qui surpassent l’original. Sur le court : Claude Brasseur, Victor Lanoux, Guy Bedos et Jean Rochefort qui interviennent tous dans la revue. Enfin pas Rochefort malheureusement, remplacé par Marthe Villalonga et Annie Duperey, c’est dur pour gagner un set. LIRE LA SUITE

Communautés et AAO

« Otto Muehl a incarné comme personne la schizophrénie collective du XXème siècle: monarchie, démocratie, communisme, fascisme, lutte des classes, révolution sexuelle, mouvement de la jeunesse, mouvement féministe, culture hippie, terrorisme, obéissance, résistance, dada, surréalisme, modernité, postmodernité… Il était anarchiste et “Leader Maximo”, artiste magnifique et petit-bourgeois mégalomane, victime et coupable, briseur anti-autoritaire de tabous et “paranoïaque archaïque”. » Citation et photo de Theo Altenberg, ex-membre des AAO en Autriche.

Otto Muehl, les communautés hippie des années 70, la secte AAO, la France contre le Système, lisez le topo complet sur le sujet dans la livraison n°9 de la revue Schnock, disponible depuis une semaine sur vos étalages. Vous y trouverez aussi des articles de fond sur le côté obscur de Coluche, le côté coquin de Paul Newman, le côté vilain de Paul Gégauff et comme d’hab des tas d’autres trucs mieux qu’Internet.

Comme les Loubards 70, le dossier Communautés 70 toujours croqué par Freak City est consultable en PDF ici.