TOUS LES ARTICLES AVEC Schnock

« Les hommages c’est vraiment de la merde »

La revue de l’anti-actu revient à point nommé en ces temps troubles pour nous remettre dans le droit chemin, celui tout en zig-zag, en compagnie du Top des meilleurs sketchs français les plus drôles du monde, du Professeur Choron et de son pote François Cavanna (qui ont eu la bonne idée d’être morts avant 2015), de la saga Apéricube, des Nazis du cinéma français, des Schtroumpfs, d’Evariste, de Jean-Edern Hallier ou encore de l’oublié Alec Mansion. UNE EXPÉDITION GRATUITE !

Etait-ce vraiment nécessaire de tout foutre en l’air ?

« J’avais des copains là-bas, mais je n’étais pas d’accord avec eux, je trouvais ça disproportionné. J’ai trouvé 68 un peu opérette, bien que ça ait cogné fort. Mais était-ce vraiment nécessaire de cogner comme ça ? De tout foutre en l’air ? On était bien, on était dans dans une époque où la vie était plus facile. Je comprendrais qu’on se bastonne aujourd’hui, mais en 68 ? Je n’étais pas dans la rue, je n’ai envoyé de pavés sur personne, je n’ai pris aucun coup de matraque. J’avais siphonné de l’essence dans une voiture à Neuilly et j’étais parti à la campagne, au soleil. Je m’étais dit: « Je me tire de là. » C’est pas méchant ce que je dis, mais cette révolution n’en était pas une, elle était un peu incompréhensible pour moi. » LIRE LA SUITE

Je suis Schnock

Peur sur la ville ! Le n°13 de la revue Schnock est disponible depuis un mois maintenant et vous feriez bien de vous abonner tant qu’il est encore temps. Dans ce numéro baptisé « Arrière les Esquimaux! », ‘ça va c’est pas trop chaud ?’, vous apprendrez pas mal de trucs sur l’acteur préféré des Français (de l’ère pré-Kad Merad). LIRE LA SUITE

Les cons n’ont jamais de cancer

Tous les trois mois, il est toujours là, compact et souriant en coin, le dernier numéro de Schnock. Il m’est arrivé de sauter des articles mais pas encore de m’en lasser, et ce malgré le cap des 3 ans. Tu vas faire quoi Beigbeder ? Tu vas appeler les flics ? ‘culé ! Bon, dans ce douzième numéro consacré au mec qui pourrait plus dire aujourd’hui ce qu’il disait à l’époque et qu’on en fait plus des comme ça, oui, Pierre Desproges. C’était inévitable. Et pourquoi on s’en priverait, sérieux ? A l’heure même où LUI affiche son mauvais goût revendiqué sur tous nos kiosques. Nom de Dieu. LIRE LA SUITE

URGENCE (1985)

Un « article » paru dans le #11 de l’indispensable revue Schnock qui vient de fêter ses 3 ans avec Brigitte Bardot, les écrivains de Playboy, la fièvre du catch et tout un tas d’autres choses:

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Presse-Revues

SCHNOCK #10
10 numéros, 3 ans, une compile, c’est la fête. La couv’ illustre la meilleure partie de tennis jamais filmée dans l’histoire du cinéma. Celle de Nous irons tous au paradis, la suite d’Un éléphant ça trompe énormément, le dyptique d’Yves Robert. Un des quelques exemples de suites qui surpassent l’original. Sur le court : Claude Brasseur, Victor Lanoux, Guy Bedos et Jean Rochefort qui interviennent tous dans la revue. Enfin pas Rochefort malheureusement, remplacé par Marthe Villalonga et Annie Duperey, c’est dur pour gagner un set. LIRE LA SUITE

Communautés et AAO

« Otto Muehl a incarné comme personne la schizophrénie collective du XXème siècle: monarchie, démocratie, communisme, fascisme, lutte des classes, révolution sexuelle, mouvement de la jeunesse, mouvement féministe, culture hippie, terrorisme, obéissance, résistance, dada, surréalisme, modernité, postmodernité… Il était anarchiste et “Leader Maximo”, artiste magnifique et petit-bourgeois mégalomane, victime et coupable, briseur anti-autoritaire de tabous et “paranoïaque archaïque”. » Citation et photo de Theo Altenberg, ex-membre des AAO en Autriche.

Otto Muehl, les communautés hippie des années 70, la secte AAO, la France contre le Système, lisez le topo complet sur le sujet dans la livraison n°9 de la revue Schnock, disponible depuis une semaine sur vos étalages. Vous y trouverez aussi des articles de fond sur le côté obscur de Coluche, le côté coquin de Paul Newman, le côté vilain de Paul Gégauff et comme d’hab des tas d’autres trucs mieux qu’Internet.

Comme les Loubards 70, le dossier Communautés 70 toujours croqué par Freak City est consultable en PDF ici.

Anar-Schnock


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Attention les Yeux !

Depuis Amanda Lear, il n’y avait plus eu de femme en couverture de Schnock, la parité est désormais respectée avec un ratio de 2/7. Correct ? C’est au tour de Miou-Miou, accompagné des deux valseurs, de se désaper lascivement, avec le nez de Robert Dalban, non, je charrie. Bienvenue dans ce n°7, fêtant l’été 1973 ou l’été 2013 je ne sais plus. LIRE LA SUITE

Charles Schnock

« La Nostalgie, camarades! » Ça y est, Schnock avoue sa nostalgiose. Une maladie qu’il est si doux d’attraper, à condition de la soigner avec un remède virulent, comme des articles démystifiants écrits par des jeunes et des moins jeunes. Le dossier Serge Gainsbourg ne fait intervenir ni Lulu, ni Charlotte, ni Bambou, ni Jane, mais évidemment l’entourage de l’ombre du génie français. Malins. LIRE LA SUITE