« Lola refuse d’assister à l’enterrement de l’homme qu’elle aime. Elle convainc Margaux, sa sœur, de les emmener, elle et son fils, loin de la cérémonie. Sur la route qui les mènera vers l’Italie, elles découvrent les adultes qu’elles sont devenues et tentent de retrouver la complicité des enfants qu’elles étaient. »
« Suite à un grand projet de rénovation urbaine, Géro va être expulsé de chez lui et de son théâtre de poche, où il ne joue plus guère depuis que la maladie lui a fait perdre la voix. Un neveu qu’il connaît à peine vient soudain s’installer chez lui. Il veut écrire. »
« Dans un collège au pied du Mont Blanc, les élèves de SEGPA peinent à entrevoir un avenir positif… Pour les motiver et les faire rêver, Alain, leur professeur, organise une sortie surprenante et périlleuse dans les entrailles d’un glacier. »
Lorsque cette fameuse question inexistentielle arrive sur le tapis – « si la téléportation existait, quel endroit et quelle époque tu choisirais ? » – beaucoup de gens sont tentés de répondre « New York dans les années 70 et 80. » Et je succomberais aussi je crois. Eric Kroll – que vous avez peut-être déjà croisé chez Taschen en feuilletant les pages de ses Fetish Girls – n’a pas eu besoin de fantasmer les glorieuses années new-yorkaises, il les a vécues. A cette période, Kroll résidait un peu à l’écart de l’effervescence culturelle de NYC, dans le comté de Westchester, ce qui lui a certainement permis de goûter au chaos artistique nécessaire sans sombrer complètement dans la débauche. Après avoir rassemblé toutes ses photos éparpillées, et surtout les avoir identifiées et datées, ses virées downtown sont désormais documentés dans ce superbe livre-brique que vient de publier le toujours excellent éditeur toulousain Timeless.
THE GOOD Triangle of Sadness (Ruben Ostlund) Speak No Evil (Christian Tafdrup) The Innocents (Eskil Vogt) The Northman (Robert Eggers) The Barbarian (Zach Cregger) Licorice Pizza (Paul Thomas Anderson) Boiling Point (Philip Barantini) Vortex (Gaspard Noé) As Bestas (Rodrigo Sorroyen) Banhees of Inisherin (Martin McDonagh)
Gérard Lauzier : architecte dilettante, insoumis distrait, écrivain dé-raté, voyeur humaniste, féministe de droite, oiseau de nuit, artiste inapte, cinéaste tardif, aventurier, influenceur et surtout auteur de BD culte – un portrait à lire dans le Schnock #41
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