TOUS LES ARTICLES AVEC Sexe

Alain Delon et les Minettes

Décennie dramatique pour Delon mais ultra réjouissante pour tout fan de Polar80, sa filmographie de 1980 à 1988 révèle six trésors, allant du téléfilm le plus merdiquement chiant à la palme d’or du politiquement incorrect. Comme dirait Jacques Perrin : parole de flic. LIRE LA SUITE

Esoterra : Super Sized Satanic

EsoTerra est un magazine américain qui a sévi durant la majeure partie des années 90 et assurait la collusion entre l’occulte et la pop culture, en pleine ère rave et colorée. A travers 9 numéros, Chad Hensley, entouré d’acolytes triés sur le volet, a réuni des interviews et articles puissants, puisant dans la musique extrême, l’art morbide ou la magie noire. Salué par Adam Parfrey, un livre rétrospectif de 320 pages contenant les meilleures choses parues dans le zine a été publié il y a quelques temps par Creation Books. Sa version française devrait être dispo chez Camion Noir en juin prochain alors que Chad est en train de préparer le le numéro 11 de la revue. Je l’avais interviewé en 2012, il venait alors de se manger un énième cyclone en pleine face, et m’avait répondu en direct de son préfabriqué de la Nouvelle-Orléans, sur une connexion DIY de fortune.

UNE INTERVIEW PARUE DANS LE N° V8N2 DE VICE MAGAZINE.

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LE PROTECTEUR (1974)

A Paris, en plein jour, une jeune fille de 18 ans (Juliet Berto) disparaît. Pour la police (Bruno Crémer), c’est la routine: des milliers de femmes disparaissent chaque année. Samuel Malakian (George Géret), le père de la jeune fille, refuse cette putain de fatalité, il sort de 10 ans de placard, a tout paumé, et se lance dans sa propre enquête, c’est tout ce qui lui reste. Impatiemment, il infiltre le milieu, file des mandales, accumule les indices, et découvre les filières du marché sexuel… LIRE LA SUITE

Kill yourself dancing !

1985

1986


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KALT WIE EIS (1981)

Il a 18 ans et s’appelle David Balko, mais tout le monde l’appelle Dave. Il est en prison parce qu’il a volé des motocyclettes. Tel un caillou au fond d’un baquet d’eau glacée, Dave n’espère plus la liberté – de sa bande, personne ne vient le voir et sa petite amie, Corinna, semble l’avoir abandonné. Les fusibles de son cerveau sont en train de griller. Il décide alors de s’évader. Mais son escapade coûtera la vie d’un homme, Dave vivra désormais un cauchemar permanent. C’est l’histoire d’une quête désespérée du bonheur qui dégénère en destruction nihiliste.

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Le Monde du Mondo

Haï par les uns, détesté par les autres, le Mondo a fêté sa cinquantième année. Le chocumentaire, discret depuis les années 80, s’apprête à pousser un dernier râle. Jeptha, un réalisateur italien, veut mettre son poing final à l’histoire avec un film évidemment intitulé «Made in Italy».

Mondo: Genre de cinéma d’exploitation caractérisé par une approche pseudo-documentaire très crue, dont le montage et le choix des images mettent en avant un aspect racoleur ou choquant du thème (en privilégiant par exemple l’exotisme, le sexe et la violence).

Cette introduction au genre est parue dans le #116 de Trois Couleurs.

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Maudit !

« Aujourd’hui, la liberté sexuelle de la majorité est en réalité une convention, une obligation, un devoir social, une anxiété sociale, une caractéristique inévitable de la qualité de vie du consommateur. Bref, la fausse libération du bien-être a créé une situation tout aussi folle et peut-être davantage que celle du temps de la pauvreté. LIRE LA SUITE

Tu es un cochon

« la répression sexuelle est extrêmement difficile à contester parce que les méthodes de répression sont devenues des stéréotypes, des types de comportement formels parfaitement admis et normaux. l’attitude émotionnelle qui consiste à voir dans la sexualité quelque chose de sale est tellement profondément inscrite dans la vie normale qu’une simple discussion à ce sujet est déjà impossible, vouée à l’échec, du fait de l’ancrage négatif de ces émotions dès la plus petite enfance. LIRE LA SUITE

LES COPAINS (1965)

LA CITTA DELLE DONNE (1980)

Quand Fellini filme le féminisme ça donne ce foutu film ! Pour une fois sans clown ni cirque (bon, un peu sur la fin). Le propos abordé avec ironie et un humour le plus total est personnifié par Marcello Mastroianni, macho à l’italienne qui, trop à l’écoute de son sexe, saute du train pour suivre une bella donna dans la nature. Il en risquera sa peau. Le pendard, dans sa folle odyssée, va rencontrer une jardinière très lubrique, le camp d’entraînement des premières femen, le Super-Homme, un vagin avaleur de perles, un musée des hommeurs, le plus grand lit du monde, le plus gros cul du monde, et des dizaines, des centaines, que dis-je, des milliers de femmes, militantes ou stimulantes, dans un surréalisme qui vire au fantasme ! Mais, tout ça n’était qu’un rêve ? LIRE LA SUITE