TOUS LES ARTICLES FILMS 70’s

BELLE (1973)

Mathieu Grégoire, écrivain, vit dans la petite ville belge de Spa. Un soir, alors qu’il roule sur la route sombre qui traverse la forêt, il heurte un animal. Il s’arrête et aperçoit une flaque de sang. Cet incident l’obsède, il est en proie à des cauchemars. Le lendemain, il regagne les lieux et recherche l’animal. Il découvre un chien blessé et, en le suivant, parvient dans une clairière où s’élève une maison en ruine. Intrigué, il pénètre dans la maison et découvre une jeune femme qui y vit… Chaque jour, il vient voir cette jeune femme taciturne, étrange, qu’il a dénommée « Belle ». Cette aventure le rend nerveux: il laisse aller ses affaires, délaisse sa femme, et surtout est obsédé par l’image de Belle à laquelle se mêle celle de sa propre fille… LIRE LA SUITE

NADA (1974)

Un groupe de six personnes décide de former un commando terroriste et d’enlever l’ambassadeur des États-Unis. Il y a Épaulard (Maurice Garrel), un vieux routier des causes désespérées; Diaz (Fabio Testi), le fils d’un communiste espagnol; Treuffais (Michel Duchaussoy), un jeune professeur de philosophie; d’Arcy (Lou Castel), un raté qui n’inspire pas la confiance de ses camarades; Meyer (Didier Kaminka), un homme d’origine juive; et enfin Cash (Mariangela Melato), la seule femme, une révoltée. Le groupe doit se procurer des armes. Pour cela, ils font un coup et s’approprient cinq bons revolvers.
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C’est qui ce fromage blanc ?

STRIDULUM (1979)

Katie Collins, une adorable petite fille d’une dizaine d’années, est possédée par un esprit maléfique venu de l’au-delà qui la pousse à commettre le mal en de nombreuses circonstances. Sur sa trace, un vieil homme, appelé « le Visiteur » veut l’empêcher définitivement de nuire…

Le casting : Mel Ferrer, Glenn Ford, Lance Henriksen, John Huston, Sam Peckinpah, Shelley Winters, Kareem Abdul-Jabbar et Franco Nero !

[LE LIEN DU FILM]

Alain Delon & Alain Delon

« Distinguer dans la filmographie d’Alain Delon ce qui relève du cinéma commercial et ce qui appartient au cinéma d’auteur ne permet pas, dans un premier temps, de comprendre le cas unique d’un acteur dont les caractéristiques procèdent davantage du donné que du construit. Il s’agit plutôt de constater, à la vision de ses films, tous genre confondus, la présence d’un pouvoir unique, d’une force, d’un magnétisme qui transcende le plus banal polar et auxquels s’est ajusté le regard des grands cinéastes. Il n’y a rien dans le jeu de Delon qui s’apparente au paradoxe du comédien, pas plus qu’à l’idée, issue de la Méthode, selon laquelle il faut vivre ses rôles. On pourrait dire, bien davantage, que ce sont ses rôles qui le vivent. Ses films sont d’abord des documentaires sur Delon. (…) LIRE LA SUITE

L’ETRANGLEUR (1972)

« Marqué par un traumatisme d’enfance, un homme étrangle des femmes, la nuit, toujours avec la même écharpe blanche. »

GENERAL LEE & SES TEDDY BOYS (1979)

SALE RÊVEUR (1978)

Tout dans le style et la pose. Jacques Dutronc a un rasoir, Jacques Dutronc fait du stock-car (salut Remy Julienne), Jacques Dutronc contre la ville, Jacques Dutronc contre les bourgeois, Jacques Dutronc contre l’État, classe contre classe, Tours et ses terrains vagues, Anémone bonne (!), Léa Massari jaune, Jean Bouise à bout, Edwige la reine des punks mise à sac, la maraude, la déprime, le dérapage, le départ. Un film de 1978 signé Jean-Marie Périer.

[LIEN DU FILM]

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LA RAISON D’ETAT (1978)

« J’ai connu un légionnaire dans le temps, il s’était fait tatouer MERDE sur chaque paupière. Quand il était en face de gens comme nous, il fermait les yeux. »

Fric, cul, débauche


Brigade Mondaine (1978) Strip Tease from Fluoglacial on Vimeo.